Une purpura thrombopénique idiopathique est un problème de santé pouvant être considéré par les compagnies d’assurance de prêt comme un risque aggravé de santé. Cela peut alors les conduire à exiger le paiement d’une surprime et/ou à procéder à l’application d’exclusions dans le contrat d’assurance.

Trouver une assurance prêt en cas de purpura thrombopénique idiopathique

Pour trouver une assurance prêt purpura thrombopénique idiopathique, il est primordial de faire jouer la concurrence entre les assureurs car leurs grilles tarifaires varient bien souvent d’une compagnie à l’autre, pour un même type de contrat.

Sachez que les contrats d’assurance de prêt des banques ne sont généralement pas ceux qui présentent les meilleurs tarifs, ni ceux acceptant de couvrir les risques de santé aggravés. Voilà pourquoi, faire le choix d’une compagnie d’assurance externe au prêteur se veut la solution la plus recommandée pour tout emprunteur présentant un problème de santé. En cas de purpura thrombopénique idiopathique, vous pourrez en effet trouver une assurance prêt purpura thrombopénique idiopathique, c’est à dire un contrat d’assurance individuel spécifique à votre problème de santé.

Si vous avez déjà un contrat d’assurance emprunteur en cours car vous avez souscrit une offre de crédit immobilier, et si cela date d’il y a moins d’un an, alors vous pouvez utiliser le droit offert par la loi Hamon, qui est de résilier votre contrat actuel pour le remplacer par un autre plus avantageux, sans frais ni pénalités, durant les 12 premiers mois. Et si ce délai est dépassé, à compter du 1er janvier 2018, vous pouvez remplacer votre assurance de prêt au moment de la date anniversaire de souscription, chaque année.

Afin de recueillir tous les bons conseils pour vous assurer de trouver une assurance prêt purpura thrombopénique idiopathique, n’hésitez pas à nous contacter.

Déclarer un purpura thrombopénique idiopathique dans le questionnaire de santé

En cas de purpura thrombopénique idiopathique, lors de votre demande de prêt immobilier, vous devrez déclarer ce problème de santé dans le questionnaire de santé de l’assureur. Le médecin conseil de la société d’assurance souhaitera alors recueillir des informations complémentaires sur ce point et vous questionnera.

Il souhaitera prendre connaissance de la date de début de la maladie, des traitements suivis (corticoïdes, cures d’immunoglobulines, splénectomie…) et également connaître les résultats de la numération des plaquettes depuis le début de la maladie. Et dans le cas où vous détenez des compte-rendus d’hospitalisation, je vous recommande de les joindre à votre dossier de demande pour une assurance prêt purpura thrombopénique idiopathique.

La décision du médecin conseil

Si votre problème de santé est ancien, que vous ne faites plus de crise depuis maintenant plusieurs années et que vos plaquettes se veulent supérieures à 50.000/mm3, il devrait y avoir un risque aggravé de 50 à 100 % pour la garantie décès, ainsi qu’une exclusion de garanties pour l’IT (incapacité de travail) et la PTIA (Perte Totale et Irréversible d’Autonomie), des suites des conséquences du PTI.

En cas de poussées régulières, si votre taux de plaquettes se situe entre 25.000 et 30.000/mm3, alors vous devriez avoir un risque aggravé de 150 % pour la garantie décès, et les garanties IT et PTIA ne vous seront pas accordées.

En savoir plus sur l’assurance de prêt en cas de purpura thrombopénique idiopathique

Toute personne souhaitant emprunter est généralement tenue de souscrire une assurance de prêt afin que le financement demandé soit accordé. Il s’agit d’une exigence ne provenant pas d’une mesure législative, mais plutôt d’une pratique des banques. Mais certains profils d’emprunteurs peuvent rencontrer des difficultés pour se voir accorder cette assurance prêt bancaire, en raison d’un problème de santé.

Dans l’objectif de faire face à cette problématique, la législation a mis en place ce que l’on appelle la délégation d’assurance. Cela permet, même aux personnes présentant un profil « à risque », de pouvoir trouver un contrat d’assurance pour garantir le crédit immobilier souhaité. En cas d’un risque médical tel qu’un purpura thrombopénique idiopathique, cette souscription peut s’annoncer plus difficile. En effet, pour une personne souffrant de ce problème de santé, il est nécessaire de trouver une assurance prêt purpura thrombopénique idiopathique, c’est à dire un contrat d’assurance emprunteur bien spécifique à ce risque de santé.

Généralités sur l’assurance emprunteur immobilier

Pour un crédit immobilier, les risques qu’un incident vienne empêcher l’emprunteur de pouvoir assumer le bon remboursement des mensualités augmente avec la durée de vie du prêt dans le temps. En effet, la survenance d’un événement tel qu’un accident, une maladie ou un décès peut causer l’insolvabilité de l’emprunteur.

Un contrat d’assurance de prêt doit donc permettre de couvrir ces risques afin de sécuriser l’emprunt, en protégeant à la fois la banque et l’emprunteur. Les principales garanties que doit comporter un contrat d’assurance de prêt sont la garantie de décès, celle de perte totale et irréversible d’autonomie (PTIA) et la garantie d’incapacité permanente et totale de travail (IPT/ITT). Il est également possible d’y trouver d’autres garanties telles que la garantie de perte d’emploi.

Quand une banque ou un organisme de crédit propose une offre de prêt immobilier, il présente systématiquement, par la même occasion, une offre d’assurance de prêt dite de « groupe » (assurance mutualisée).

Et les banques avaient tendance à subordonner l’accord d’un financement à une adhésion à leur contrat d’assurance de prêt. Pourtant, le coût d’un contrat groupe est généralement plus élevé que celui d’un contrat d’assurance individuel. Aussi, il faut savoir que les conditions de souscription en externe se veulent plus souples.

Le contrat d’assurance de groupe des banques procède au calcul d’un risque moyen sur la base de tous les emprunteurs, en mutualisant le risque. Cette assurance tient donc compte d’une moyenne et d’un tarif standard. Ainsi lorsque qu’un paramètre tel qu’un purpura thrombopénique idiopathique apparaît dans le dossier de la personne souhaitant emprunter, l’adhésion devient compliquée. Et si la souscription est acceptée, elle sera conditionnée par le paiement d’une onéreuse surprime.

Les lois en faveur des consommateurs

Dans l’objectif de favoriser la situation du consommateur, 2 lois sont entrées en vigueur en 2010 et 2014, ainsi qu’un amendement en 2017. Elles permettent d’effectuer un comparatif des offres proposées sur le marché et de souscrire une assurance de prêt auprès de la compagnie d’assurance de son choix.

La loi Lagarde

Depuis 2010, les candidats au prêt immobilier disposent de la liberté de souscrire un contrat d’assurance de prêt proposé par un assureur externe à l’établissement prêteur. Il est toutefois nécessaire de présenter ce contrat au prêteur afin qu’il décide ou non de sa mise en place, en fonction de la notion d’équivalence de garanties avec les garanties du contrat qu’il propose initialement. En cas de refus, il est tenu de motiver sa décision par écrit.

Cette loi précise l’obligation du prêteur à ne pas modifier les modalités du crédit, ni le taux d’intérêt proposé et les frais de dossier. Ils doivent en effet rester identiques, quel que soit le type de contrat choisi par l’emprunteur (contrat d’assurance groupe bancaire ou contrat d’assurance individuelle d’une société d’assurance).

La loi Hamon

La loi Hamon vient étendre la faculté de libre choix offerte par la loi Lagarde. Depuis 2014, les emprunteurs ont en effet la possibilité de procéder à la résiliation de leur contrat d’assurance en cours afin de le remplacer par un contrat individuel, durant les 12 premiers de souscription du crédit. Cette opération ne nécessite ni frais ni pénalités.

L’amendement Bourquin

L’amendement Bourquin vient poursuivre l’avancée de la loi Hamon en autorisant le changement de contrat d’assurance en cours, au moment de la date anniversaire de souscription du crédit. Il s’agit d’une disposition s’appliquant à compter du 1er janvier 2018.

Avant toute acceptation ou refus d’une demande d’adhésion à l’assurance emprunteur, les assureurs doivent effectuer une étude du profil santé de l’emprunteur. Pour cela, il est demandé au candidat au crédit de répondre à un formulaire médical préétabli, couramment appelé questionnaire de santé. Grâce à ce questionnaire, le niveau de risque peut ainsi être évalué afin de déterminer le tarif de l’assurance. C’est ainsi qu’est en effet fixé le tarif pour une assurance prêt purpura thrombopénique idiopathique.

Comprendre le Purpura thrombopénique idiopathique

Chaque année, en France, il est en moyenne recensé 4.000 hospitalisations pour purpura thrombopénique idiopathique (PTI). Il s’agit d’un problème de santé se manifestant par une apparition de taches rouges sur la peau ainsi que d’une hémorragie inexpliquée. Il peut autant toucher les enfants que les adultes.

Un purpura thrombopénique idiopathique peut être de forme aiguë ou chronique. La forme aiguë peut guérir quasi spontanément sans aucun traitement. Toutefois si l’hémorragie prend de l’ampleur, le médecin prescrira alors des immunoglobulines polyvalentes ou des corticoïdes. Dans sa forme chronique, un PTI nécessite une splénectomie (une ablation de la rate).

Pour les assureurs, cette maladie auto-immune est considérée comme étant un risque aggravé de santé. De ce fait, ils procèdent alors à l’application d’une surprime ou intègrent des exclusions de garanties au contrat d’assurance. Le refus d’adhésion se veut également une possibilité pour une assurance prêt purpura thrombopénique idiopathique.

Comment souscrire une assurance crédit immobilier avec un Purpura thrombopénique idiopathique ?

Il est impératif de répondre au questionnaire de santé afin de souscrire une assurance prêt purpura thrombopénique idiopathique. Une fois la bonne déclaration du problème de santé, le médecin-conseil de l’assureur vous demandera de détailler toutes les informations sur celui-ci, notamment la date à laquelle il a été découvert ainsi que les résultats et suivis médicaux réalisés, et les traitements.

Selon les réponses apportées, le médecin-conseil peut exiger un examen de santé complémentaire tel qu’une prise de sang, pour en savoir plus sur l’évolution de la maladie.

Trouver la meilleure assurance emprunteur immobilier avec le courtier APPC

Le comparatif d’offres d’assurance ne se résume pas seulement au niveau tarifaire. Un « risque de santé aggravé » peut venir freiner la recherche de votre contrat pour une assurance prêt purpura thrombopénique idiopathique. En tant que spécialiste dans le domaine des assurances de prêt immobilier, le courtier Assurance prêt Pas Cher sait exactement comment s’y prendre et connaît les astuces pour bien négocier votre assurance, même avec un risque aggravé de santé. Il dispose aussi d’un vaste réseau de partenaires, ceci lui permettant d’orienter rapidement ses recherches vers le meilleur assureur pour son client.

APPC vous aide à trouver un contrat d’assurance prêt purpura thrombopénique idiopathique au tarif le plus bas quel que soit votre profil santé. Vous disposez également d’un conseiller dédié, depuis la recherche de la bonne assurance jusqu’à la signature et bonne mise en place du contrat.